Découverte
Colonisation
Les guerres Néo-zélandaises
Le Maori
Biographies
La Nouvelle-Zélande aujourd'hui
Autres sujets
Articles en anglais
Les Polynésiens
Les Européens
Abel Janszoon Tasman
Le Capitaine James Cook
Jean François Marie de Surville
Marc Joseph Marion du Fresne
Jules Sébastien César Dumont d'Urville
Les débuts
Le Baron Charles Hippolyte de Thierry
La Compagnie Néo-Zélandaise
Le Traité de Waitangi
Les colons français
Dates marquantes de l'histoire de la Nouvelle-Zélande
Plan historique de la Nouvelle-Zélande
Histoire
La prise de Kororareka
Le mouvement Hauhau
Te Kooti - résistant, prophète, fondateur de l'église Ringatu
L'affaire Parihaka

Aussi

Les guerres du Mousquet

Glossaire des mots Māori - Français
Préhistoire
Habitations - le kainga, le pa
Le Haka
Tapu, Noa - signification
Le Tatouage (Ta Moko)
Généalogie, Artisanat
Le Marae - lieu de réunion
Le Tangi, Religion et spiritualité
Légendes Māori
Les jeux Māori
Le jeu de Ki-o-Rahi
Le cerf-volant Maori
Le Poi Toa
Le jeu de Mu Torere
Aussi ...
Dates marquantes de l'histoire Māori
Aujourd'hui - Māoritanga
Glossaire des mots Māori - Français
Hongi Hika - Chef de la tribu Nga Puhi
Te Rauparaha - Chef de la tribu Ngati Toa
Te Kooti : résistant, prophète, fondateur de l'église Ringatu
Michael Joseph Savage - Premier Ministre
Ellen Dougherty, première infirmière d'état enregistrée du monde
Information générale
L'éruption du Mont Tarawera
Néo-zélandais célèbres
Images de la Nouvelle-Zélande
Le peuple Moriori
Tester vos connaissances
Liens
Chronologie d'événements
Premier Ministres
Histoire locale
Les "premiers" en Nouvelle-Zélande
Liens en anglais
FAQ
Bibliographie
Remerciements
Plan du site
Qui je suis
Contact
 

La Boutique Néo-Zélandaise - livres, musique ...

DVD documentaires

Vidéos de la culture Māori
La Nouvelle-Zélande en France - lire la suite ...
 
Britannica iGuide
 
 
 
Mise à jour May 13, 2014  
 
 
La Nouvelle-Zélande dans l'histoire
 
Drapeau Néo-Zélandais
In english
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Retour
Le Māori - jeux pré-européens
Le jeu de « Mu Torere »
Le panneau de jeu "Mu Torere" ("papa takaro")
Mu Torere
Autour du panneau de jeu sont huit cases ("kewai").

Ce jeu se joue à deux, sur un panneau de jeu ("papa takaro"), ou en dessinant le jeu dans le sable ou l’argile.

Il y a généralement huit cases ("kewai") autour du panneau de jeu – bien que certaines tribus jouent avec plus de quarante cases – et il y a une case centrale ou "putahi". Dans le jeu à huit cases, chaque joueur a quatre pièces de jeu (le plus souvent des petites pierres de couleur différentes) qu’il dispose de son côté du jeu, dans quatre cases adjacentes.

Ensuite, chaque joueur à son tour doit bouger une de ses pièces, soit sur le "putahi", au centre, soit sur un des "kewai" contigus. Vous ne pouvez pas sauter par-dessus une autre pièce, ni en avoir plus d’une en même temps sur un "kewai" ou sur le "putahi". Pour gagner, il faut placer ses pièces de façon à rendre l’adversaire incapable de bouger les siennes.

On disait qu’un joueur confirmé, dans un jeu à huit cases, pouvait prévoir quarante déplacements à l’avance.

Le jeu paraît très facile, mais il n’en est rien et les premiers colons l’ont vite compris : beaucoup d’entre eux ont raconté dans leur journal comment ils se sont, à maintes reprises, fait battre " à plate couture" par des joueurs Māori. Il est arrivé qu’un Māori jouant simultanément contre pas moins de dix Européens arrive encore à les battre sans problème.

Ce n’est qu’après 1850 que l’on a enregistré la première victoire d’un colon sur un Māori. Mais à cette époque, les compétences des Māoris en la matière avaient grandement diminué, et le jeu ne présentait plus que peu d’intérêt.

 

 

Mes remerciements à Harko Brown for ces informations.

 

 
haut de la page
 

 

 

Liens
Mu Torere par George Jelliss (site en anglais)
Jouer le Mu Torere sur votre ordinateur (jeu interactif)
Tester vos connaissances

 

 

 

 

 

Attention : Ce site est un site personnel. J’essaie de vérifier au mieux les informations que vous y trouverez, en utilisant des sources différentes. Mais je vous conseille de visiter aussi les sites officiels concernant l’histoire de la Nouvelle-Zélande. Vous trouverez la liste de bon nombre d’entre eux sur ma page Links (sites en anglais).